L’historien Antony Beevor vient de livrer un constat inquiétant : le stock militaire britannique ne tiendrait guère plus de dix jours en situation de combat réel. Et le plus préoccupant ? Si Washington réduit son soutien à l’Ukraine, l’Europe ne dispose pas des réserves de munitions nécessaires pour combler ce manque.
Pourquoi cela importe-t-il au-delà des cercles de défense ? À cause de la pression budgétaire. Les gouvernements qui s’empressent de reconstituer leurs arsenaux devront resserrer les budgets ailleurs—y compris potentiellement la capacité réglementaire dédiée à la supervision des cryptomonnaies. Parallèlement, l’instabilité géopolitique pousse souvent les capitaux vers des valeurs refuges, même si le narratif du Bitcoin comme « or numérique » n’a pas toujours résisté lors des conflits majeurs.
La pénurie de munitions n’est pas seulement un problème militaire. C’est un rappel des réalités de la chaîne d’approvisionnement qui fait écho aux débats sur l’infrastructure des cryptos. On ne peut pas développer ce qui n’a pas été construit.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
10 J'aime
Récompense
10
6
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
LiquidatedTwice
· 12-07 23:39
Dix jours ? C’est ridicule, mon cycle de trading dure au moins un mois... Mais bon, au moins avec la réduction du budget, plus personne ne s’occupe de la crypto, les régulateurs ont déjà assez de soucis comme ça.
Voir l'originalRépondre0
RugPullAlertBot
· 12-07 10:45
Dix jours ? Mort de rire, c’est encore plus rapide que de voir un token chuter depuis son sommet lol
Voir l'originalRépondre0
MainnetDelayedAgain
· 12-07 10:41
Selon les données de la base de données, les réserves de munitions en Europe sont loin de pouvoir soutenir une véritable guerre... c'est du passé, pour toujours. Dix jours seulement, mes amis, je suggère de l'inscrire au livre des records Guinness.
Voir l'originalRépondre0
FlippedSignal
· 12-07 10:40
Dix jours ? Waouh, c'est vraiment en rupture de stock... Au fait, si les États-Unis lâchent vraiment l'affaire, qu'est-ce que l'Europe va faire ?
Voir l'originalRépondre0
AirdropHunterXiao
· 12-07 10:33
Dix jours ? C'est à mourir de rire. Une fois que ces données sur les stocks de munitions seront publiées, l'Europe risque de paniquer... Si les États-Unis se retirent, il n'y aura personne pour reprendre le flambeau.
L’historien Antony Beevor vient de livrer un constat inquiétant : le stock militaire britannique ne tiendrait guère plus de dix jours en situation de combat réel. Et le plus préoccupant ? Si Washington réduit son soutien à l’Ukraine, l’Europe ne dispose pas des réserves de munitions nécessaires pour combler ce manque.
Pourquoi cela importe-t-il au-delà des cercles de défense ? À cause de la pression budgétaire. Les gouvernements qui s’empressent de reconstituer leurs arsenaux devront resserrer les budgets ailleurs—y compris potentiellement la capacité réglementaire dédiée à la supervision des cryptomonnaies. Parallèlement, l’instabilité géopolitique pousse souvent les capitaux vers des valeurs refuges, même si le narratif du Bitcoin comme « or numérique » n’a pas toujours résisté lors des conflits majeurs.
La pénurie de munitions n’est pas seulement un problème militaire. C’est un rappel des réalités de la chaîne d’approvisionnement qui fait écho aux débats sur l’infrastructure des cryptos. On ne peut pas développer ce qui n’a pas été construit.