Que faut-il pour que des agents autonomes puissent réellement participer à l’activité économique ? Il leur faut à la fois un « cerveau » doté de capacités de jugement et des « mains » capables de mettre en œuvre ces décisions.
Le projet Talus développe précisément une infrastructure couvrant ces deux éléments fondamentaux. Selon une récente analyse de Messari, l’approche de ce projet attire l’attention, car pour que l’économie des agents fonctionne correctement, une telle couche intégrée est indispensable.
Un système qui ne fait que réfléchir sans agir, ou qui exécute aveuglément sans réfléchir, reste incomplet. Une structure qui maîtrise ces deux aspects deviendra la clé de l’infrastructure de l’économie autonome à l’avenir.
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MEVHunterNoLoss
· 12-05 05:53
Tu as raison, il ne suffit pas d’avoir de la tête, il faut aussi que les mains suivent, sinon ce ne sont que des paroles en l’air.
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MindsetExpander
· 12-05 05:52
Pour être honnête, j'ai vu beaucoup de projets avec seulement des idées sans action, et ils finissent tous par échouer... L'approche de Talus n'est pas mal, mais il faudra voir s'ils peuvent vraiment relier les deux étapes. Sinon, ce ne sera qu'une monnaie de présentation de plus.
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OnChainDetective
· 12-05 05:47
Honnêtement, ce cadre "cerveau + mains" me rappelle sérieusement tous les systèmes autonomes défaillants que j'ai audités. Le rapport de Messari tient la route, mais je vais d'abord vérifier les flux de transactions réels avant de crier victoire ici.
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LiquidityHunter
· 12-05 05:42
Je n'ai vu ça qu'à 3h du matin... Pour être honnête, j'ai étudié pendant un bon moment ce cadre "cerveau+main" de Talus : au niveau des données, il comble effectivement un manque de liquidité de la version 0.7, mais jusqu'où peut-on vraiment réduire le slippage à l'exécution ? C'est ça le véritable facteur déterminant de l'opportunité d'arbitrage.
Que faut-il pour que des agents autonomes puissent réellement participer à l’activité économique ? Il leur faut à la fois un « cerveau » doté de capacités de jugement et des « mains » capables de mettre en œuvre ces décisions.
Le projet Talus développe précisément une infrastructure couvrant ces deux éléments fondamentaux. Selon une récente analyse de Messari, l’approche de ce projet attire l’attention, car pour que l’économie des agents fonctionne correctement, une telle couche intégrée est indispensable.
Un système qui ne fait que réfléchir sans agir, ou qui exécute aveuglément sans réfléchir, reste incomplet. Une structure qui maîtrise ces deux aspects deviendra la clé de l’infrastructure de l’économie autonome à l’avenir.