#美联储重启降息步伐 Après toutes ces années à trader des contrats, ce que je redoute le plus d’entendre, c’est « Je sais ce que je fais ».
Beaucoup de gens disent comprendre les risques, mais au fond, ils pensent : « Ce genre de malchance ne tombera jamais sur moi. » Ils voient passer sur leurs réseaux les histoires tragiques de liquidations, frissonnent sur le coup, puis oublient aussitôt. Avant de trader, ils jurent : « J’ai bien mis mon stop-loss », mais quand la volatilité arrive, la cupidité les pousse à relever leurs objectifs de take-profit, et l’illusion de chance fait que le doigt n’appuie jamais sur le bouton stop-loss.
Quand ils gagnent, ils trouvent que ça monte trop lentement et augmentent leur position ; quand ils perdent, ils refusent d’accepter la perte et rachètent frénétiquement, jusqu’à ce que leur téléphone affiche : « Votre position a été liquidée de force. » C’est seulement là qu’ils se réveillent — tout ça pour rien.
Sur les contrats, ce n’est pas la technique qui compte, c’est la capacité à maîtriser ses émotions. Quand le prix bouge de 2 %, le mental peut s’effondrer de 10 %. Dès que l’adrénaline monte, tout plan de trading part à la poubelle, et il ne reste qu’une idée en tête : « Je refuse de perdre, je vais me refaire ! » Plus on ajoute, plus on creuse ; le compte fuit comme une passoire, et plus on s’accroche, plus on perd. Moi aussi, je suis tombé dans ce « piège du joueur ».
Je me souviens, une fois j’avais une perte latente de 30 %, je fixais les chiffres rouges à l’écran, le visage de ma famille a traversé mon esprit. Mes doigts se sont rétractés comme électrocutés, j’ai fermé l’appli et je suis resté assis dans le salon jusqu’au petit matin. Le lendemain, j’ai clôturé avec douleur, il ne restait que 20 % du capital, mais au moins assez pour acheter quelques produits pour la maison.
Aujourd’hui, avant d’ouvrir une position, je calcule d’abord « combien je peux perdre au maximum », histoire de garder une porte de sortie pour la vie réelle. Les profits du jour, je les transfère immédiatement vers un cold wallet, et dès que je ferme l’interface de trading, je retourne à la vie quotidienne — ranger la maison, me faire un thé et le savourer tranquillement. Ralentir le rythme de la vie pour contrebalancer la stimulation du trading, c’est comme ça que j’ai peu à peu retrouvé le contrôle.
Si toi aussi tu tournes en rond dans ce tourbillon, je te conseille d’abord de régler l’effet de levier au minimum, et de t’entraîner sur un compte démo jusqu’à avoir fait cent trades. Au bout du compte, tu verras que les soi-disant « opérations de génie » sont souvent juste de la chance et une bonne conjoncture de marché.
Nous sommes tous des gens ordinaires. Mieux vaut d’abord gagner 1 % tranquillement sur le marché spot, avant d’aller chercher 1 % sur les contrats — si on brûle les étapes, la vie peut rapidement partir en vrille.
Ne te pousse pas à l’extrême pour « te refaire ». Le vrai retour à l’équilibre, c’est de retrouver un état d’esprit qui permet de vivre sereinement et de bien dormir. Le marché sera toujours là, prenons le temps de jouer.
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GasWhisperer
· Il y a 13h
honnêtement, le moment "t’inquiète, je gère" juste avant de se faire liquider, c’est vraiment une vibe à part... j’ai regardé le mempool s’agiter pendant que ma position se faisait rekt, les frais qui montaient à 40% en plongeant, mdr. ce rush d’adrénaline ? franchement, mieux vaut optimiser son sommeil, la congestion du réseau n’a rien sur la volatilité émotionnelle, sérieux
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HodlTheDoor
· 12-06 14:20
Frérot, ces mots font vraiment mal… Je suis exactement ce genre d’idiot incapable d’appuyer sur le bouton stop-loss.
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MysteryBoxOpener
· 12-06 14:20
C'est tout à fait vrai, c'est exactement ça. À chaque fois que je vois "Je comprends les risques", ça me fait rire.
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P2ENotWorking
· 12-06 14:19
Je tiens bon, plus je perds, plus c'est violent... Cette phrase fait vraiment mal, je suis justement cet idiot qui n’arrive pas à appuyer sur le bouton stop-loss.
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gas_fee_trauma
· 12-06 14:18
Tu as tellement raison, la phrase « Je sais » m’énerve le plus.
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BearMarketMonk
· 12-06 14:15
Hmm... C’est tellement vrai, moi aussi je fais partie de ces idiots qui disent « je comprends » et qui, sur un coup de tête, augmentent leur position.
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GasFeeTherapist
· 12-06 14:13
Pour être honnête, le bouton de stop-loss ne sert à rien, personne n'arrive à l'utiliser.
#美联储重启降息步伐 Après toutes ces années à trader des contrats, ce que je redoute le plus d’entendre, c’est « Je sais ce que je fais ».
Beaucoup de gens disent comprendre les risques, mais au fond, ils pensent : « Ce genre de malchance ne tombera jamais sur moi. » Ils voient passer sur leurs réseaux les histoires tragiques de liquidations, frissonnent sur le coup, puis oublient aussitôt. Avant de trader, ils jurent : « J’ai bien mis mon stop-loss », mais quand la volatilité arrive, la cupidité les pousse à relever leurs objectifs de take-profit, et l’illusion de chance fait que le doigt n’appuie jamais sur le bouton stop-loss.
Quand ils gagnent, ils trouvent que ça monte trop lentement et augmentent leur position ; quand ils perdent, ils refusent d’accepter la perte et rachètent frénétiquement, jusqu’à ce que leur téléphone affiche : « Votre position a été liquidée de force. » C’est seulement là qu’ils se réveillent — tout ça pour rien.
Sur les contrats, ce n’est pas la technique qui compte, c’est la capacité à maîtriser ses émotions. Quand le prix bouge de 2 %, le mental peut s’effondrer de 10 %. Dès que l’adrénaline monte, tout plan de trading part à la poubelle, et il ne reste qu’une idée en tête : « Je refuse de perdre, je vais me refaire ! » Plus on ajoute, plus on creuse ; le compte fuit comme une passoire, et plus on s’accroche, plus on perd. Moi aussi, je suis tombé dans ce « piège du joueur ».
Je me souviens, une fois j’avais une perte latente de 30 %, je fixais les chiffres rouges à l’écran, le visage de ma famille a traversé mon esprit. Mes doigts se sont rétractés comme électrocutés, j’ai fermé l’appli et je suis resté assis dans le salon jusqu’au petit matin. Le lendemain, j’ai clôturé avec douleur, il ne restait que 20 % du capital, mais au moins assez pour acheter quelques produits pour la maison.
Aujourd’hui, avant d’ouvrir une position, je calcule d’abord « combien je peux perdre au maximum », histoire de garder une porte de sortie pour la vie réelle. Les profits du jour, je les transfère immédiatement vers un cold wallet, et dès que je ferme l’interface de trading, je retourne à la vie quotidienne — ranger la maison, me faire un thé et le savourer tranquillement. Ralentir le rythme de la vie pour contrebalancer la stimulation du trading, c’est comme ça que j’ai peu à peu retrouvé le contrôle.
Si toi aussi tu tournes en rond dans ce tourbillon, je te conseille d’abord de régler l’effet de levier au minimum, et de t’entraîner sur un compte démo jusqu’à avoir fait cent trades. Au bout du compte, tu verras que les soi-disant « opérations de génie » sont souvent juste de la chance et une bonne conjoncture de marché.
Nous sommes tous des gens ordinaires. Mieux vaut d’abord gagner 1 % tranquillement sur le marché spot, avant d’aller chercher 1 % sur les contrats — si on brûle les étapes, la vie peut rapidement partir en vrille.
Ne te pousse pas à l’extrême pour « te refaire ». Le vrai retour à l’équilibre, c’est de retrouver un état d’esprit qui permet de vivre sereinement et de bien dormir. Le marché sera toujours là, prenons le temps de jouer.