En décembre, sur le champ de bataille du RWA, tout le monde cherche à afficher l’ampleur de ses actifs tokenisés : des dizaines de milliards de dollars en immobilier, en obligations d’État… Les chiffres sont impressionnants.
Mais KAIO ne joue clairement pas le même jeu.
Alors que les autres se vantent du montant de leurs actifs on-chain, KAIO s’attaque à une question bien plus cruciale : comment permettre à des institutions comme Nomura, Brevan Howard, Laser Digital ou Hamilton, une fois qu’elles ont investi de l’argent réel, de l’utiliser facilement, de le gérer en toute confiance et de le retirer librement ?
Ce que les institutions attendent, ce n’est pas un communiqué de presse sur “encore des milliards tokenisés”, mais une infrastructure qui leur permette de dormir sur leurs deux oreilles. Voilà le vrai tournant de la seconde phase du RWA : celui qui saura retenir l’argent, celui-là gagnera.
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APY追逐者
· Il y a 14h
Les chiffres peuvent être impressionnants, mais ce sont vraiment les infrastructures capables d’offrir une tranquillité d’esprit aux institutions qui font la différence. Sur ce point, KAIO a effectivement visé juste.
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GasGoblin
· 12-06 07:39
Pour être honnête, c’est ça que j’ai envie de voir — pas ces chiffres gonflés à bloc, mais des choses qui donnent vraiment confiance aux gros investisseurs pour mettre de l’argent. KAIO a vraiment une vision lucide.
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MEVEye
· 12-06 07:37
Merde, enfin quelqu'un a vu clair. Les autres projets ne font que vanter des chiffres toute la journée, alors que KAIO fait vraiment avancer les choses, c'est ça la vraie différence. L'argent institutionnel est le plus difficile à retenir, l'infrastructure est la clé.
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MoneyBurner
· 12-06 07:34
Putain, enfin quelqu'un qui le dit. Les autres passent leur temps à se vanter d'avoir tokenisé des milliards, ça me fait bien rire — j'ai vu ce genre de jeux de chiffres trop de fois. L'angle de KAIO est génial, c'est l'infrastructure qui fait la vraie barrière à l'entrée. Les institutions se fichent complètement de ce que tu as tokenisé, ce qui compte c'est de pouvoir utiliser la solution en toute sécurité et de pouvoir se retirer sans souci. Voilà le vrai play des RWA, tout le reste c'est du vent.
En décembre, sur le champ de bataille du RWA, tout le monde cherche à afficher l’ampleur de ses actifs tokenisés : des dizaines de milliards de dollars en immobilier, en obligations d’État… Les chiffres sont impressionnants.
Mais KAIO ne joue clairement pas le même jeu.
Alors que les autres se vantent du montant de leurs actifs on-chain, KAIO s’attaque à une question bien plus cruciale : comment permettre à des institutions comme Nomura, Brevan Howard, Laser Digital ou Hamilton, une fois qu’elles ont investi de l’argent réel, de l’utiliser facilement, de le gérer en toute confiance et de le retirer librement ?
Ce que les institutions attendent, ce n’est pas un communiqué de presse sur “encore des milliards tokenisés”, mais une infrastructure qui leur permette de dormir sur leurs deux oreilles. Voilà le vrai tournant de la seconde phase du RWA : celui qui saura retenir l’argent, celui-là gagnera.