Des milliers de milliards d'actifs sont en train de changer discrètement de terrain de jeu, l'as-tu remarqué ?
Ne te contente pas de fixer les mouvements erratiques des chandeliers sur le graphique. La véritable histoire se cache là où on ne la voit pas : l'argent du monde de la finance traditionnelle afflue massivement vers la blockchain.
Commençons par un fait :
Tout le monde comprend que le bitcoin est accumulé comme un « or numérique » pour se protéger du risque. Mais l’Ethereum ? Son rôle est totalement différent. Des géants historiques comme Goldman Sachs et JPMorgan ont déjà commencé à tester l’émission d’obligations et les systèmes de règlement d’actions sur le réseau Ethereum. Ce qui les intéresse, ce n’est pas la volatilité des prix à court terme, mais bien le potentiel de cette blockchain comme infrastructure sous-jacente du système financier du futur.
Réfléchis : actions, obligations, immobilier… Ces actifs, peu liquides et à l’accès restreint dans le monde traditionnel, que se passerait-il une fois transformés en tokens sur la blockchain ? Les échanges 24h/24 deviendraient possibles, les frontières géographiques disparaîtraient, la participation avec de petits montants ne serait plus un rêve. BlackRock a déjà émis des fonds d’une valeur de plusieurs milliards via Ethereum. Ce n’est qu’un avant-goût.
Un autre point souvent négligé :
Ce qu’on appelle « l’équipe nationale » et les régulateurs ne s’intéressent pas vraiment à la répression d’une monnaie en particulier. Ce qu’ils cherchent à contrôler, c’est le pouvoir d’établir les règles : qui pourra définir les standards et le cadre réglementaire des actifs sur la blockchain détiendra le pouvoir de façonner l’infrastructure financière de la prochaine génération. C’est une guerre d’influence, sans fumée ni bruit.
Qu’est-ce que cela signifie pour nous ?
La tokenisation des actifs n’est pas un concept spéculatif, mais une transformation structurelle déjà en cours. Les blockchains publiques dont l’écosystème est mature et reconnues par les institutions accueilleront en premier cette vague migratoire. Le transfert de la richesse de l’ancien vers le nouveau registre pourrait se produire bien plus vite que ce que la plupart imaginent.
Question : À ton avis, quel type d’actif sera le premier à être massivement tokenisé ? Actions, obligations d’État ou titres de propriété immobilière ?
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SerRugResistant
· Il y a 23h
Putain, Goldman Sachs et Morgan font du règlement d'obligations sur Ethereum ? Voilà la véritable histoire, pas ces histoires de fluctuations de prix des cryptos.
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GateUser-beba108d
· Il y a 23h
Même BlackRock s’est lancé, et certains hésitent encore à acheter ou non ? Il aurait fallu le comprendre depuis longtemps.
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ProposalDetective
· Il y a 23h
La manœuvre de BlackRock, c’est ça le vrai signal, tout le reste n’est que du bruit.
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LiquidationWatcher
· Il y a 23h
Goldman Sachs et Morgan Stanley ne peuvent vraiment plus se retenir avec ce genre d'opérations, un système de règlement on-chain aurait déjà dû voir le jour... Attendez, mettre les titres de propriété immobilière sur la blockchain ? Ça, il va falloir y aller doucement.
#美联储重启降息步伐 $ETH $ZEC $LUNC
Des milliers de milliards d'actifs sont en train de changer discrètement de terrain de jeu, l'as-tu remarqué ?
Ne te contente pas de fixer les mouvements erratiques des chandeliers sur le graphique. La véritable histoire se cache là où on ne la voit pas : l'argent du monde de la finance traditionnelle afflue massivement vers la blockchain.
Commençons par un fait :
Tout le monde comprend que le bitcoin est accumulé comme un « or numérique » pour se protéger du risque. Mais l’Ethereum ? Son rôle est totalement différent. Des géants historiques comme Goldman Sachs et JPMorgan ont déjà commencé à tester l’émission d’obligations et les systèmes de règlement d’actions sur le réseau Ethereum. Ce qui les intéresse, ce n’est pas la volatilité des prix à court terme, mais bien le potentiel de cette blockchain comme infrastructure sous-jacente du système financier du futur.
Réfléchis : actions, obligations, immobilier… Ces actifs, peu liquides et à l’accès restreint dans le monde traditionnel, que se passerait-il une fois transformés en tokens sur la blockchain ? Les échanges 24h/24 deviendraient possibles, les frontières géographiques disparaîtraient, la participation avec de petits montants ne serait plus un rêve. BlackRock a déjà émis des fonds d’une valeur de plusieurs milliards via Ethereum. Ce n’est qu’un avant-goût.
Un autre point souvent négligé :
Ce qu’on appelle « l’équipe nationale » et les régulateurs ne s’intéressent pas vraiment à la répression d’une monnaie en particulier. Ce qu’ils cherchent à contrôler, c’est le pouvoir d’établir les règles : qui pourra définir les standards et le cadre réglementaire des actifs sur la blockchain détiendra le pouvoir de façonner l’infrastructure financière de la prochaine génération. C’est une guerre d’influence, sans fumée ni bruit.
Qu’est-ce que cela signifie pour nous ?
La tokenisation des actifs n’est pas un concept spéculatif, mais une transformation structurelle déjà en cours. Les blockchains publiques dont l’écosystème est mature et reconnues par les institutions accueilleront en premier cette vague migratoire. Le transfert de la richesse de l’ancien vers le nouveau registre pourrait se produire bien plus vite que ce que la plupart imaginent.
Question : À ton avis, quel type d’actif sera le premier à être massivement tokenisé ? Actions, obligations d’État ou titres de propriété immobilière ?