Le train de la hype autour de l’IA tourne-t-il à vide ? Pat Gelsinger, qui vient de quitter la tête d’Intel, a lâché un avis tranchant : les géants de l’IA financeraient peut-être leur propre soi-disant essor. Imaginez la scène : des acteurs majeurs injectent des fonds dans les écosystèmes les uns des autres, créant une boucle fermée qui impressionne sur le papier mais soulève des questions sur la demande réellement organique. Quand l’ancien patron d’un mastodonte des puces remet en cause la viabilité autonome de la croissance de l’IA ou y voit une ingénierie financière sophistiquée, ça mérite réflexion. Sommes-nous face à une véritable adoption de l’innovation ou à un cas d’école de financement circulaire ?