Bruxelles vient d'infliger plus de $140 millions d'euros d'amendes à une grande plateforme sociale, invoquant des violations liées aux discours de haine et à la désinformation dans le cadre de leur Digital Services Act.
Mais la vraie question est la suivante : qui décide de ce qui constitue une « désinformation » ? Lorsque les régulateurs affirment qu'ils protègent les utilisateurs, protègent-ils réellement la liberté d'expression — ou cherchent-ils simplement à étendre leur contrôle sur le discours numérique ?
Ce débat n'est pas nouveau pour les acteurs du Web3. Les plateformes décentralisées soutiennent depuis longtemps que les autorités centralisées ne devraient pas dicter quelles idées sont amplifiées ou supprimées. Que ce soit sur les réseaux sociaux, les forums crypto ou dans la gouvernance blockchain — la tension entre sécurité et censure revient sans cesse.
La lutte pour un dialogue ouvert se poursuit. Et dans un monde qui évolue vers la décentralisation, ces batailles comptent plus que jamais.
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ChainPoet
· 12-05 19:54
1. Une amende de 1,14 milliard de dollars ? Bruxelles ne rigole vraiment pas, mais qui décide de ce qui est une "fausse information", ça je ne comprends pas.
2. Donc, quand les régulateurs disent qu'ils protègent les utilisateurs... À mes yeux, c'est juste une façon de resserrer leur contrôle sur la parole. Le web3 a déjà vu clair dans ce jeu-là depuis longtemps.
3. Haha, c'est bien pour ça que les plateformes décentralisées sont indispensables, les organismes centralisés ont tout simplement trop de pouvoir de décision.
4. L'histoire se répète encore : tout ce qu'ils ne peuvent pas contrôler, ils le répriment au nom de la "sécurité", c'est toujours la même rengaine.
5. C'est vraiment comique, d'un côté ils disent protéger la liberté d'expression et de l'autre ils dépensent des fortunes pour faire taire les gens, leur logique se contredit toute seule.
6. Donc l'UE veut monopoliser le droit de raconter l'histoire ? Pas étonnant que de plus en plus de gens se tournent vers la décentralisation, cette voie est vouée à l'échec.
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SmartContractPlumber
· 12-05 19:53
Une amende de 140 millions, au fond c’est encore une question d’expansion du pouvoir. Qui définit ce qu’est la désinformation ? Celui qui le définit a le dernier mot — c’est exactement comme le problème de contrôle des permissions dans les contrats : quand le pouvoir est centralisé, les failles sont inévitables.
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Ce que fait Bruxelles n’est pas différent de la logique de mises à jour forcées de certains projets — sous couvert de protection, ils renforcent en réalité leur contrôle. Impossible d’auditer ? Alors on ne te laisse même pas connaître les règles.
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La censure des propos se pare d’un vernis de « sécurité », mais au fond, c’est toujours le même type d’attaque de réentrée : une faille, des permissions illimitées, et au final la liberté des utilisateurs est complètement engloutie.
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C’est ça, le véritable problème que le web3 doit résoudre. Le modèle de permissions des plateformes centralisées est vicié par nature — qui leur a donné ce pouvoir ?
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140 millions investis, pour quel résultat ? Ce sont toujours les mêmes qui décident de ce qui peut ou non être dit. J’ai déjà vu ce genre de pattern de conception, même la vérification formelle ne peut sauver ce type de code structurellement défaillant.
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Encore un nouveau dépassement d’entier — un pouvoir sans contrôle ne peut que s’étendre à l’infini. La décentralisation n’est pas un gadget, c’est une nécessité.
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RektRecorder
· 12-05 19:51
ngl l'UE fait vraiment preuve d'une soif de pouvoir incroyable cette fois... Mais qui va définir ce qu'est une "désinformation" ?
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140 millions d'amende, pour dire les choses clairement, c'est juste pour dompter l'opinion publique. Le Web3 a déjà vu à travers ce genre de manigance depuis longtemps.
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Ils prétendent protéger les utilisateurs, mais en réalité, ils monopolisent le droit à la parole. En quoi cela diffère-t-il de la censure centralisée ?
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La voie de la décentralisation devient de plus en plus urgente, sinon on sera toujours écrasés par ceux qui fixent les règles.
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Et voilà, ça recommence, à chaque fois c'est "pour la sécurité"... c'est vraiment insupportable.
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Ils prétendent protéger la liberté d'expression, mais en réalité, ils étouffent toute dissidence.
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ThreeHornBlasts
· 12-05 19:35
1,4 milliard d'amende ? Bruxelles frappe fort, mais qui définit vraiment ce qu’est une fausse information ? Voilà le vrai problème.
Les régulateurs prétendent protéger les utilisateurs, mais en réalité, ils veulent surtout contrôler le discours. Les acteurs du Web3 l’ont compris depuis longtemps.
La vraie liberté d’expression, c’est sur la blockchain. Les plateformes centralisées finiront par céder leur place.
Cette fois, c’est une bataille décisive. Je parie sur notre victoire.
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DefiEngineerJack
· 12-05 19:34
En fait, l’ironie ici, c’est que Bruxelles définit la « désinformation » par décret centralisé tout en prêchant la protection du débat… On dirait que la vérification formelle de leur logique échouerait de façon catastrophique, mdr.
Bruxelles vient d'infliger plus de $140 millions d'euros d'amendes à une grande plateforme sociale, invoquant des violations liées aux discours de haine et à la désinformation dans le cadre de leur Digital Services Act.
Mais la vraie question est la suivante : qui décide de ce qui constitue une « désinformation » ? Lorsque les régulateurs affirment qu'ils protègent les utilisateurs, protègent-ils réellement la liberté d'expression — ou cherchent-ils simplement à étendre leur contrôle sur le discours numérique ?
Ce débat n'est pas nouveau pour les acteurs du Web3. Les plateformes décentralisées soutiennent depuis longtemps que les autorités centralisées ne devraient pas dicter quelles idées sont amplifiées ou supprimées. Que ce soit sur les réseaux sociaux, les forums crypto ou dans la gouvernance blockchain — la tension entre sécurité et censure revient sans cesse.
La lutte pour un dialogue ouvert se poursuit. Et dans un monde qui évolue vers la décentralisation, ces batailles comptent plus que jamais.