Y avez-vous déjà pensé ? Toutes ces choses qui nécessitent une preuve en ligne peuvent en réalité être vérifiées sans révéler le moindre mot.
Il existe une technologie appelée protocole de preuve à divulgation nulle de connaissance (zero-knowledge proof), qui vous permet de faire des choses comme : prouver que vous utilisez votre compte Gmail depuis plusieurs années, montrer votre rendement réel sur une grande plateforme d’échange, vérifier l’utilisation régulière de votre compte Spotify, afficher le suivi complet de vos cours sur Duolingo, ou même confirmer vos expériences professionnelles sur LinkedIn — le tout sans exposer aucun détail privé.
Ça semble paradoxal ? C’est pourtant la magie de la cryptographie à l’ère du Web3. La preuve reste une preuve, mais les données restent vos données ; les autres ne voient que le résultat « confirmation de l’authenticité ». Dans le domaine du calcul confidentiel, cette approche est en train de redéfinir les règles du jeu de la vérification d’identité.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
10 J'aime
Récompense
10
6
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
MoodFollowsPrice
· Il y a 7h
Cette preuve à divulgation nulle de connaissance a l'air vraiment impressionnante, mais est-ce qu'elle est vraiment appliquée dans la réalité ?
Pour vérifier son identité, il faut toujours fournir une tonne d'informations personnelles. On en reparlera le jour où cette technologie sera vraiment utilisée.
C'est exactement le genre de choses que le Web3 devrait faire, bien plus fiable que toutes ces fonctionnalités tape-à-l'œil.
J'arrive pas trop à imaginer : comment prouver quelque chose sans révéler les données ? La cryptographie, c'est vraiment aussi puissant que ça ?
Avec une protection de la vie privée aussi poussée, les plateformes d'échange vont devenir folles, jamais elles n'accepteraient ça aussi facilement.
Ça a l'air innovant, mais j'ai peur que ce soit encore un concept à la mode, inutilisable en pratique.
Si ça arrive à se démocratiser, ce serait vraiment une victoire pour la cryptographie, parce qu'actuellement les fuites de données sont trop graves.
J'ai l'impression qu'il faudra quand même la coopération des grands groupes, sinon l'écosystème ne pourra pas se développer.
Génial, on n'aura plus à s'inquiéter que nos données privées soient revendues à des annonceurs.
Voir l'originalRépondre0
DataPickledFish
· 12-05 06:53
Les preuves à divulgation nulle de connaissance sont vraiment impressionnantes, mais les cas d’utilisation concrets restent malheureusement très rares.
Voir l'originalRépondre0
GateUser-a5fa8bd0
· 12-05 06:52
Le concept de la preuve à connaissance nulle paraît incroyable : est-il vraiment possible de concilier à la fois la confidentialité et la confiance ?
Voir l'originalRépondre0
BearMarketSage
· 12-05 06:52
Les preuves à divulgation nulle de connaissance, c’est vraiment incroyable. C’est ça, l’esprit du vrai Web3, avec une protection de la vie privée à ce niveau-là.
Voir l'originalRépondre0
ChainSherlockGirl
· 12-05 06:48
D'après mon analyse, si ce truc se généralise vraiment, tout le secteur du KYC devra se réinventer.
Voir l'originalRépondre0
TommyTeacher1
· 12-05 06:34
La preuve à connaissance nulle, ce truc-là, on a l’impression que c’est vraiment fait sur mesure pour nous, ceux qui ont peur des fuites de données personnelles.
Y avez-vous déjà pensé ? Toutes ces choses qui nécessitent une preuve en ligne peuvent en réalité être vérifiées sans révéler le moindre mot.
Il existe une technologie appelée protocole de preuve à divulgation nulle de connaissance (zero-knowledge proof), qui vous permet de faire des choses comme : prouver que vous utilisez votre compte Gmail depuis plusieurs années, montrer votre rendement réel sur une grande plateforme d’échange, vérifier l’utilisation régulière de votre compte Spotify, afficher le suivi complet de vos cours sur Duolingo, ou même confirmer vos expériences professionnelles sur LinkedIn — le tout sans exposer aucun détail privé.
Ça semble paradoxal ? C’est pourtant la magie de la cryptographie à l’ère du Web3. La preuve reste une preuve, mais les données restent vos données ; les autres ne voient que le résultat « confirmation de l’authenticité ». Dans le domaine du calcul confidentiel, cette approche est en train de redéfinir les règles du jeu de la vérification d’identité.