Un protocole d'identité décentralisée vient d'atteindre une étape importante qui mérite d'être soulignée. L'équipe derrière idOS a déployé des améliorations technologiques majeures grâce à un partenariat avec Horizen Labs, et les chiffres le confirment.
Ils ont mis en place des améliorations basées sur les preuves à divulgation nulle de connaissance pour les systèmes de connexion vérifiables et les contrôles d'intégrité des données au niveau du protocole. Plus de 2,3 millions de justificatifs ont été vérifiés via leur réseau, sans qu'aucune faille de sécurité n'ait été signalée—un bilan plutôt solide pour une couche d'identité.
L'architecture de calcul multipartite assure la charge de travail ici, répartissant la confiance entre les nœuds au lieu de s'appuyer sur des points de défaillance uniques. C'est le genre d'évolution d'infrastructure qui ne fait pas la une des journaux, mais qui compte lorsqu'on construit des systèmes d'authentification réellement capables de passer à l'échelle.
Pour tous ceux qui suivent les solutions d'identité Web3, ce partenariat indique la direction que prend la technologie de vérification décentralisée : moins de points centraux vulnérables, plus de garanties cryptographiques.
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TokenomicsTrapper
· Il y a 34m
Franchement, l'affirmation "zéro faille" ressemble à du vaporware tant que je n'ai pas réellement lu les contrats d'audit... Où est la vérification tierce pour ces 2,3 millions d'identifiants, sérieusement ?
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LuckyBlindCat
· 12-05 04:57
2,3 millions de preuves sans aucune faille, voilà à quoi devrait vraiment ressembler la véritable décentralisation.
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AirdropworkerZhang
· 12-05 04:52
La preuve à divulgation nulle de connaissance, c’est vraiment fiable : 2,3 millions de justificatifs sans aucune fuite. Voilà à quoi devrait vraiment ressembler une couche d’identité.
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MEVSandwichMaker
· 12-05 04:47
Il n’y a vraiment rien à redire sur les preuves à divulgation nulle de connaissance : 2,3 millions de preuves et aucune n’a été compromise, c’est ça qu’on appelle une infrastructure fiable.
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DegenGambler
· 12-05 04:45
Encore un projet de couche d'identité qui fait du bruit, 2,3 millions de justificatifs, vrai ou faux...
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ChainComedian
· 12-05 04:39
Enfin, quelqu’un a utilisé les preuves à divulgation nulle de connaissance (zero-knowledge proofs) à bon escient. Cependant, 2,3 millions de vérifications de justificatifs sans aucune faille, il faudra encore observer ces données pendant quelques trimestres avant de pouvoir y croire.
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AllInDaddy
· 12-05 04:39
Les preuves à connaissance nulle ont encore une fois été améliorées, cette fois idOS et Horizen Labs ont vraiment fait du bon boulot.
D'ailleurs, 2,3 millions de justificatifs sans aucun incident, ces chiffres sont impressionnants, mais ça reste quand même trop niche... Le vrai enjeu, c'est de pouvoir les utiliser à grande échelle un jour.
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GateUser-9f682d4c
· 12-05 04:29
2,3 millions de justificatifs sans aucune faille, c’est exactement ce que devrait être une couche d’identité.
Un protocole d'identité décentralisée vient d'atteindre une étape importante qui mérite d'être soulignée. L'équipe derrière idOS a déployé des améliorations technologiques majeures grâce à un partenariat avec Horizen Labs, et les chiffres le confirment.
Ils ont mis en place des améliorations basées sur les preuves à divulgation nulle de connaissance pour les systèmes de connexion vérifiables et les contrôles d'intégrité des données au niveau du protocole. Plus de 2,3 millions de justificatifs ont été vérifiés via leur réseau, sans qu'aucune faille de sécurité n'ait été signalée—un bilan plutôt solide pour une couche d'identité.
L'architecture de calcul multipartite assure la charge de travail ici, répartissant la confiance entre les nœuds au lieu de s'appuyer sur des points de défaillance uniques. C'est le genre d'évolution d'infrastructure qui ne fait pas la une des journaux, mais qui compte lorsqu'on construit des systèmes d'authentification réellement capables de passer à l'échelle.
Pour tous ceux qui suivent les solutions d'identité Web3, ce partenariat indique la direction que prend la technologie de vérification décentralisée : moins de points centraux vulnérables, plus de garanties cryptographiques.